Didier Faustino

et ses mésarchitectures
chewing-gum


La réflexion de Didier Fiuza Faustino a pour dimension centrale le corps. Non pas le corps comme machine de référence, mais le corps comme composante spatiale. Car comment envisager un espace autrement qu'à travers sa relation avec le corps qui le pratique ? Il s'agit donc de prendre en compte les interactions de l'un avec l'autre ainsi que les potentialités d'action de chacun en amont de toute conception. Le domaine à saisir est celui de la perception, en témoigne une série de travaux interrogeant le paraître, le tactile, l'instabilité visuelle et physique. C'est aussi celui du déplacement, à l'image des containers chorégraphiques où le parcours est un des éléments constitutifs de l'architecture mise en place. Enfin, et logiquement, c'est celui de l'entre-deux, de l'infinitésimal. Considérer les liens de deux univers, n'est-ce pas essayer de saisir l'impalpable, l'espace-temps qui les unit (ou les sépare) ?




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